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La table (MDLF) : La bataille d'Orleans

La chevalerie française devra affronter les terribles grands archers anglais.
Les bastilles donnent une protection certaine aux troupes en difficulté.
Il faudra bien défendre ses positions avant l’assaut final. Vive le roi ! Mais lequel ?
Copie écran du plan au début de la bataille

Copie écran mdlf


Un peu d'histoire : La bataille d'Orleans



Avant l'arrivée de Jeanne d'Arc, Orléans est au bord de la reddition, la ville n'a plus de ressources et est épuisé.
Le duc Charles d'Orléans étant fait prisonnier après Azincourt, c'est son demi-frère Jean, dit Dunois, un enfant bâtard, qui défend la ville avec courage.
Tandis que les chefs de guerre français hésitent et tergiversent, Jeanne rentre secrètement dans la ville pour y rencontrer Dunois.
Elle le somme de faire une sortie, mais la dernière a été trop catastrophique que le bâtard d'Orléans préfère attendre les renforts.
Jeanne prend les choses en main, deux bastides anglaises se tiennent dans la région, il faut les attaquer !
Jeanne charge elle-même la bastide des Augustins, la garnison la suit et c'est un succès.
Le soir au conseil de guerre, Dunois et ses hommes veulent en rester là, mais Jeanne refuse. Elle ameute la population qui se prépare toute la nuit.
Le lendemain, l'assaut est donné, la forteresse est redoutable, les pertes sont élevées, Jeanne est touchée par un carreau d'arbalète au dessus du sein.
La blessure est superficielle, elle retourne galvaniser ses troupes.
Les Anglais paniquent, ils se jettent dans la Loire, le 8 mai 1429, Orléans est sauvé.
C'est un miracle ! Pour Jeanne, la prise d'Orléans prouve le caractère divin de sa mission, la foule lui prête même des pouvoirs de guérison.
Pour les Anglais, humiliés, la Pucelle est envoyée par le diable.


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